Les Pédés Et L’École De Nos Enfants

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Nous en avons assez de ces suppôts de Satan!

“Tout enfant est un don de Dieu”.
L’influence déterminante de Dieu dans la vie d’un enfant ne peut certainement être ni passée sous silence, ni sous-estimée. Le bannissement de Dieu des écoles de nos enfants est donc jugé comme étant la cause désastreuse de la décadence de la moralité. On a en fait expulsé avec fanatisme “Celui” qui garantissait l’assistance spirituelle nécessaire pour éliminer toutes les dernières empreintes de l’immoralité grandissante, parce qu’on voulait faire place au diable pour enseigner à nos enfants des principes avec lesquels nous sommes en profond désaccord. Comme conséquence, nos établissements scolaires sont donc devenus comme des centres d’initiation à l’animalité et à l’indécence sous toutes ses formes. Notre meilleur espoir de délivrance se trouve dans la vertu de ce “Dieu” qui est rejeté. Il importe pour nous de faire de lui le point central de la résistance contre la montée de la perversité dans nos écoles. Nous estimons, pour cela, que si l’école veut vraiment continuer à développer la personnalité de nos enfants aux dimensions de l’humanité, qu’elles soient sociales, intellectuelles ou spirituelles, cette école doit d’abord rétablir la tradition de l’enseignement de la connaissance et des devoirs envers Dieu dans leur éducation. C’est seulement à ce moment-là qu’elle pourra affirmer les aider à discerner le vrai du faux, le bon du mauvais et le beau du laid.
venez, retournons à l’éternel ! Car il a déchiré, mais il nous guérira, il a frappé, mais il bandera nos plaies”  (Osée 6 : 1).


C’est donc pour augmenter dans nos cœurs la répulsion que nous éprouvons déjà, que nous voulons encore aujourd’hui dénoncer le dévergondage affreux de ces suppôts du diable qui se livrent aux pratiques des œuvres pédérastiques, et maintenir la conduite nécessaire pour ne pas compromettre notre salut, notre conscience, notre honneur de chrétien; et aussi pour nous animer de plus de haine contre ces mœurs maudites qui salissent l’esprit de nos enfants. Nous sentons au fond de notre âme un profond mépris pour les actions de ces dérangés sexuels. On aurait dû mettre en place des réseaux souterrains pour les enfermer, afin de les empêcher de nous causer plus de maux, parce qu’ils sont toujours trop nuisibles à notre tranquillité et au salut de nos âmes. Et ceux qui, malgré tout, font de la promotion de ce mal une activité délibérée et permanente, et qui plaident encore pour assainir une telle pratique, nous leur rappelons qu’elle est essentiellement bestiale, qu’elle s’oppose à la vertu. Elle illustre le renversement de l’ordre fondamental divin. Il est bon et prudent d’en faire de ce mal un repoussoir, parce que ceux qui le pratiquent ne sont pas seulement des malades, mais des malades malsains et dangereux capables d’infecter toute une société.

Néanmoins, ce qui pose davantage problème en ce moment est l’idée selon laquelle les pédés décident maintenant d’investir leur temps dans nos établissements scolaires pour parler de leurs expériences sodomites à nos enfants. Il est impératif pour nous dans cette réalité si difficile à appréhender de mettre une borne à cette intrusion déroutante qui fait l’objet de tant de controverses. On doit s’indigner, mais il faut en ce moment dépasser le stade de l’indignation pour crier à haute voix : « Arrêtez Pédés! Ne touchez pas à l’école de nos enfants! »

Les réflexions qui suivent ne prétendent aucunement à l’exhaustivité, mais un jugement sain des choses qui se passent à l’heure actuelle doit vraiment nous faire frémir pour l’avenir de nos enfants, compte tenu de l’attitude outrecuidante des pédés à leur endroit, et qui affecte irrémédiablement leur saine nature. Nous assistons de nos jours à des tentatives de législation qui visent à dévier le caractère sacro-saint de l’éducation de nos enfants, sans tenir compte des conséquences désastreuses qui en découlent pour leur existence et leur avenir. On nous impose comme lois ce qui en réalité ne constitue que des caractères d’une tragédie en miniature pour l’ensemble de leur vie. Et, il faudrait être vraiment naïf pour croire que les pédés auraient autre chose en vue que de faire brèche dans le système éducatif de nos enfants, avec la complicité des autorités en fonction pour légitimer leur perversion.

L’Ecole est un signe de l’amour de Dieu pour l’enfant. Elle rappelle le projet de bonheur et non de malheur que Dieu a pour chacun d’eux. Elle se veut un lieu sacré et inviolable pour sa formation et qui participe en même temps à sa bienveillance et à son émancipation. Elle est une institution morale dont la mission première est de former nos enfants et, au cœur de l’acte éducatif, de les transformer en bons citoyens et en bons professionnels, au sens de l’éthique personnelle et collective, afin de conserver et perpétuer les bonnes valeurs de toute une société. Ceux qui ont la charge de l’éducation de nos enfants ont pour devoir de concourir à leur formation intégrale, en les aidant à acquérir les compétences nécessaires pour une vie responsable, et aussi en insérant dans leurs programmes éducatifs des notions sur la connaissance du Dieu Créateur, de sorte que leur pédagogie puisse être en cohérence avec Sa Parole, afin que Christ soit le modèle de leur vie en actes et en paroles.

Il y a tout un mélange de facteurs et d’influences qui entrent en compte dans l’éducation d’un enfant. Les projets éducatifs élaborés pour nos enfants doivent être fondés sur la vision chrétienne de leur personne et non sur des idées macabres visant à intégrer dans leur éducation des notions sur des vices contre nature pour lesquels Dieu a déjà passé toute une génération à l’incinération. Il est vital que les établissements scolaires suivent les orientations pour l’enseignement de nos enfants avec l’engagement parental et la prise en considération de leur conviction religieuse. La dimension sociale de l’Ecole implique qu’elle prépare nos enfants à la vie civique, à l’engagement dans la société et à la reconnaissance de ses responsabilités respectives vis-à-vis de Dieu et non de la pédérastie. L’homosexualité n’est pas une science. Elle est humainement, socialement et intellectuellement inutile. Il faut la caractériser comme la voie d’une dégénérescence sociale qui n’est pas nécessaire à la survie de l’espèce humaine, mais, elle est plutôt ressentie comme une menace à sa perpétuation. Nous n’envoyons pas nos enfants à l’école pour entendre parler d’homosexualité, mais de l’Anatomie, de la Biologie, de la reproduction. Ainsi, ils sauront que le seul critère nécessaire pour la reproduction de l’espèce humaine est l’existence unique de rapports hétérosexuels, et ils grandiront ainsi comme des gens capables de s’ouvrir toujours plus à Dieu, aux autres et au service universel. Le plus grand bien à donner à un enfant est d’abord de former son âme à la vertu, mais cela ne peut se faire sans une éducation citoyenne basée inévitablement sur une implication des valeurs chrétiennes.

Les conquêtes des pédés les ont permis d’atteindre des objectifs énormément troublants et devant la complexité de cette situation, nous avons le droit et le devoir d’intervenir, en tant que parents d’abord, chrétiens ensuite, pour rappeler aux autorités le sens le plus profond du respect à démontrer pour la vie de nos enfants et des responsabilités qui incombent à tous en la matière. Nous n’hésiterons pas à mettre le nez dans leurs ébats pour protéger la vie de nos enfants contre toutes embûches de ces suppôts du diable, et aussi bien contre tous comportements et décisions, individuels ou collectifs, inadaptés, déviants, là où les structures pour leur protection sont défaillantes voir mêmes inexistantes. Il est pour nous, parents, une obligation de nous opposer à toute loi qui s’avère un attentat contre l’éducation normale de nos enfants pour arrêter la fuite en avant du phénomène “homophilique” dans leur éducation. Nous exhortons tous les parents à s’engager pour que leurs droits et aussi bien ceux de leurs enfants soient effectivement observés. Nous sommes et resterons les premiers éducateurs de nos enfants pour leur inspirer des principes de sagesse, de vertu et d’équité dont Dieu en est la seule source indispensable, inépuisable et infaillible. L’innocence de ces enfants devrait les soustraire à la malice de ces serpents de l’enfer qui vomissent sur eux leurs ordures. Nous sommes vraiment bouleversés par la pénétration forcée de ces suppôts des démons dans leur école, et nous refusons de rester muets devant ce mythe qualifié intrinsèquement diabolique. Nous sommes prêts à rigidifier nos traits pour ne pas sombrer dans un silence mortifiant, afin de chasser à “coups de fouet”, s’il le faut, le lobby des activités de la propagande homosexuelle à l’Ecole de nos enfants. Nous jurons de ne pas laisser lier pieds et mains nos enfants pour les jeter dans les bourbiers de l’impureté.  Que Dieu nous soit en aide!

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